Compte tenu de la nature des œuvres et de leur condition de conservation, il faut souligner que tout geste du restaurateur/conservateur représente un acte particulièrement engageant. La réintégration ne doit être que le dernier élément d’un travail préalable éventuel de nettoyage, refixage, consolidation et réhabilitation de la structure mécaniques de l’œuvre, gage essentiel de pérennité.